28 février, 2013

Dictionnaire d'un amour #1.

ABSTRACTION, nf.

L'amour est une forme d'abstraction. Et puis il y a les nuits où je dors seul, où je me blottis contre un oreiller qui n'est pas toi, où j'entends des bruits de pas feutrés qui ne sont pas les tiens. Ce n'est pas comme si je pouvais soudain te faire surgir à côté de moi. Je dois me contenter d'étreindre l'idée de toi.


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20 février, 2013

Londres, quelques généralités.

Hi !

Attention, je ne prétends pas détenir le saint Graal de l'information pour voyager à Londres. Je parle ici de mes expériences perso de petits voyages de 3 jours une fois tous les 6 mois (et encore), je ne suis pas expat' (à mon grand désarroi!) et ne connait donc pas TOUS les petits secrets de la ville.

Voilà simplement, quelques petits trucs qui me semblent utiles.

(j'me sens un peu victime là, j'sais pas pourquoi)


  • Je n'ai toujours pas compris l'intérêt de l'Oyster Card. J'en ai une mais j'ai l'impression que ça me coûte un bras à chaque fois. Je me rassure en me disant que les locaux payent autant que moi... Compter environ 10£ par jour pour les transports. La carte coûte 5£ et on te les rend si tu la restitue à la fin du séjour (moi, je garde la mienne, je m'en sers à chaque fois et c'est pas nominatif, on peut la prêter !).

  • Pas de prise de tête, les anglais ont le Wi-Fi absolument partout ! Bars, cafés, restos, musées... Pour les détenteur de l'iPhone, plutôt cool pour envoyer des iMessages sans rien payer ;-), c'est avéré, pour une fois je suis à moins de 2.50€ de hors-forfait alors que j'ai tweeté et instagramé à tout va.

  • Toujours sur iPhone, je me suis servi de l'application "Tube map" (il y en a plein mais j'en ai pris une gratuite) qui a le mérite d'être gratuite -donc!- et de fonctionner sans connexion 3G ou Wi-Fi. Assez utile, surtout quand, comme moi, on ne regarde pas les lignes qui ne fonctionnent pas avant de partir et qu'on perd une demi heure à la gare en arrivant pour trouver un trajet viable.

  • Je me demandais si la valise posait problème pour faire les boutiques... Je ne sais pas si ça peut servir ici ou pas mais en tout cas sur Oxford St, on nous laisse tranquille. On a fait des tonnes et des tonnes de boutiques, nous n'avons pas eu une seule remarque (quartier touristique oblige ?).

  • J'avais lu à plusieurs reprises qu'il fallait aller faire son change au Marks&Spencer de Oxford St (encore !), ce que nous avons donc fait. Service très agréable, rapide, efficace... Il y a écrit qu'il ne prennent pas de commission, je ne comprends pas tellement comment c'est possible mais bon... J'ai remarqué que TOUS les Marks&Spencer appliquaient le même taux donc pas forcément besoin d'aller exclusivement dans celui de Oxford St, je pense. 

  • Au passage, je conseille quand même de ne pas se casser la tête et de tirer une grosse fois au distributeur. C'est des frais, mais franchement plus pratique.

  • N'hésite pas à acheter un plan de la ville, il y en a des pas chers dans les petites guérites à la sortie du métro et c'est toujours utile pour trouver LA petite rue où se cache le Ottolenghi de tes rêves (je dis ça, je dis rien moi !). 

  • Dernière chose : attention aux pourboires. Je crois que de toute façon, ça se fait de toujours laisser quelque chose (pas comme en France hein ;-)) mais parfois le service n'est carrément pas compris, ce n'est pas toujours très bien indiqué (souvent, c'est sur le menu) et il faut laisser en plus environ 13%, si mes souvenirs sont bons.

  • Enjoy ! C'est une ville superbe dont je ne pourrais absolument pas me passer, et où je voudrai passer le restant de mes jours.

Voilà, c'est à peu près tout ce qui me vient à l'esprit pour commencer cette petite série d'article (si je m'y tiens !) sur mon petit séjour à Londres.

Have a good day !

EDIT : Promis, l'article arrive ! J'attends juste de récupérer les photos du week-end !
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11 février, 2013

Le fondant chocolat-poire du dimanche glandouille.

Comme chacun sait, je suis une grosse flemmarde. Franchement. Je me blase moi-même, tellement j'ai la flemme de tout. A part de geeker sur l'ordi (d'ailleurs ma mission de cet après-midi : passer le moins de temps possible devant mon écran et finir mes deux livres, et le ménage de l'appartement #ménagèredemoinsde30ansinside). Sachant que je tape cet article depuis 14h hein, et que je ne l'ai toujours pas fini...

Bref. Tout ça pour dire qu'hier après-midi, chez nous, c'était en mode glandouille totale. On avait prévu d'aller à Versaillus mais la flemme s'est fait sentir. On a donc passé la journée au lit. 

Bon, on a quand même eu un sursaut pour faire un gâteau aux alentours de 18h. Hé oui, chez nous, c'est la bouffe qui prime. Je crois qu'on ne fait que ça. Les mecs qui préparent leurs voyages et itinéraires par les restos, c'est nous !

Tout ça pour te dire que le gâteau : 
Un fondant chocolat-poire. On avait du chocolat, on avait des poires. On s'est lancés ! 

Les ingrédients : 
200g de chocolat noir
120g de sucre
120g de farine
2 oeufs
120g de beurre
3 poires (on en a mis que 2)

La recette :
Faire fondre le beurre et le chocolat. Incorporer le sucre et les oeufs, et bien bien bien mélanger.
Ajouter au même moment la farine et les poires coupées en dés. Ca évite que les fruits tombent au fond du plat (pour l'anecdote on a quand même testé et effectivement les fruits sont bien répartis dans le gâteau sauf qu'on avait jamais essayé avant donc on a pas de point de comparaison). Verser dans le moule beurré. Et hop ! Au four à 180° pour 20/25 minutes. On a laissé 30 minutes et puis on a fini par couper le four et le laisser dedans.

Il est moche mais trèèèèès bon.
Bien fondant, juste bien sucré, bien poire.

Voilà.
Bon appétit.


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05 février, 2013

Méga coup de coeur, truc de ouf : Divergente.

J'ai honte. J'ai du mal à finir mes livres, la plupart du temps. Sauf. Oui, j'ai bien dit sauf. Quand je lis du roman ado...

J'en prends de plus en plus conscience, et même si j'adore la littérature anglaise du 19ème siècle, j'ai vraiment de plus en plus de mal à accrocher à la littérature dite "adulte".

Je trouve ça souvent très mou, très égocentré, insipide... (sauf quelques polars par-ci, par-là mais je ne suis pas une grande fan du genre).


Bref. Je ne me rappelle plus de ce que j'avais pu dire de Hunger Games ici (et franchement, j'ai la flemme de chercher) mais je me suis senti revivre quand je les ai lus. Ou devrais-je plutôt dire dévorés. Je n'avais pas été accro à un/une livre/série depuis un bon moment.

Toute cette introduction pour dire que c'est EXACTEMENT la même chose avec Divergente. J'ai dévoré les deux tomes disponibles en 3/4 jours, au point de ne pas pouvoir m'endormir et d'y penser tout la journée.

La quatrième de couverture :


Tris vit dans un monde post-apocalyptique où la société est divisée en cinq factions. À 16 ans elle doit choisir sa nouvelle appartenance pour le reste de sa vie. Cas rarissime, son test d’aptitudes n’est pas concluant. Elle est divergente, elle est en danger de mort !

Tout est dit... ou presque. Mais comment faire l'éloge d'un livre sans trop en dire ? Le mieux est que tu lises le livre toi-même.


Laisse moi juste te dire que : c'est pas comparable à Hunger Games mais si ça l'était ça serait encore mieux, les personnages sont méga hyper attachants, il y a une histoire d'amour trop belle et tellement pas cucul, et franchement il faut le lire parce que c'est troooop bien.

Je ne sais juste pas comment je vais survivre jusqu'à la sortie du tome 3 (septembre en anglais, apparemment).

Ceci est une critique faite dans le cadre du Challenge Jeunesse.


L'avancée du Challenge, c'est par ICI.

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