30 juillet, 2012

La musique des vacances #1.

Après mon petit article "je me prends la tête, je ne sais pas si je publie sur le blog cet été ou pas", je me suis dit que j'allais programmer quelques trucs un peu "sympa", ou pas, c'est comme tu veux. 

Mais on s'en fiche, tant que ça me fait plaisir, c'est le principal.

Pour la petite anecdote, mon amoureux et moi avons du mal à nous mettre d'accord sur la musique à écouter en voiture, on aime pas DU TOUT la même chose. Ca fini souvent sur Nostalgie parce qu'on chante et que ça nous fait marrer. Alors j'ai décidé de publier ici la musique que j'aimerai écouter sur la route.



Rendez-vous sur Hellocoton !

24 juillet, 2012

Qu'est-ce que tu lis pour les vacances ?*

*Une petite blague musicale, qui, j'espère, va te rester en tête toute la journée, est cachée dans ce titre, saura-tu la retrouver ?

Alors, parlons peu, parlons bien !

J'avais, en Août/Septembre de l'année dernière, fait quelques articles rapides de classement des livres que j'avais lu : LA et LA. Je me suis dit que j'allais refaire la même chose à l'issu de mes trois semaines de vacances.

Ce que j'ai prévu de lire -j'ose espérer que ça ne va me durer qu'une semaine et que je vais devoir courir dans cette jolie librairie pour acheter d'autres livres en urgence- : 


Ora, une femme séparée depuis peu de son mari Ilan, quitte son foyer de Jérusalem et fuit la nouvelle tant redoutée : la mort de son second fils, Ofer, qui, sur le point de terminer son service militaire, s'est porté volontaire pour «une opération d'envergure» de vingt-huit jours dans une ville palestinienne. Comme pour conjurer le sort, elle décide de s'absenter durant cette période : tant que les messagers de la mort ne la trouveront pas, son fils sera sauf. La randonnée en Galilée qu'elle avait prévue avec Ofer, elle l'entreprend avec Avram, son amour de jeunesse, pour lui raconter son fils. Elle espère protéger son enfant par la trame des mots qui dessinent sa vie depuis son premier souffle, et lui éviter ainsi le dernier. À travers le destin bouleversant d'une famille qui tente à tout prix de préserver ses valeurs et ses liens affectifs, l'auteur nous relate l'histoire de son pays de 1967 à nos jours et décrit avec une force incomparable les répercussions de cet état de guerre permanent sur la psyché des Israéliens, leurs angoisses, leurs doutes, mais aussi la vitalité, l'engagement, et l'amour sous toutes ses formes.


Plongez-vous dans cette grande histoire, au coeur d'étés inoubliables. Une histoire où se mêlent subtilement les voix de quatre adolescentes, Carmen, Tibby, Bridget, Lena. De surprises en émotions, de rires en larmes, les quatre filles font l'apprentissage de la vie.


Tibby, Lena, Carmen et Bridget ont grandi. La vie les a éloignées. Et, au-delà de la carrière professionnelle et de leur vie amoureuse, chacune sait que quelque chose leur manque... La proximité qu'elles ont toujours connue jusqu'ici.
Un beau jour, enfin, Tibby qui vit en Australie leur envoie des billets d'avion pour organiser des retrouvailles en Grèce !Aucune des quatre amies ne se doute à quel point leur vie en sera bouleversée, à jamais...Ann Brashares fait revivre ses quatre héroïnes mythiques, confrontées aux grandes questions de la vie : l'amitié, la tragédie, la maternité, l'amour...Une lecture chaleureuse et émouvante à savourer à tout âge comme les confidences d'une meilleure amie.


Dans un cimetière parisien, on enterre une vieille dame. De loin, une jeune femme venue d'Amérique, Suzan, observe secrètement la scène, tandis qu'une autre, Fleur, se tient au bord de la tombe où repose désormais celle qui fut sa grand-mère, Adèle.
Personnalité charismatique et inlassable séductrice qui a, depuis son exil de Pologne après la Première Guerre mondiale, traversé le XXe siècle en indomptable survivante à toutes les tragédies qui en ont endeuillé l'histoire, Adèle défunte semble continuer à exercer sur les vivants une inimitable et puissante emprise. A la lumière du parcours de la disparue magnifique, Suzan et Fleur se voient en effet confrontées l'une à son inaptitude à vivre et à aimer, l'autre à l'enfermement au prix duquel elle tient à distance une profonde blessure affective, chacune en venant à prendre enfin la mesure du legs de souffrance et d'amour dont sa propre existence est redevable.Sur trois générations et plusieurs continents, et de la grande Histoire à l'histoire familiale, Carole Zalberg tisse ici, à travers le portrait de quelques femmes inoubliables, le roman d'une humanité aussi fragile que résiliente, hantée, autant que consolée, par les indociles fantômes du passé.

C'est tout pour le moment, j'ai décidé de ne pas trop en emmener pour ne pas me restreindre sur mes envies d'achats -pas folle la guêpe- ! D'autant plus que je me suis rajouté Les hauts de Hurlevent !

Rendez-vous sur Hellocoton !

20 juillet, 2012

Ne plus être libraire ? ²

J'envie parfois ces gens, ces clients qui nous racontent leur travail ou même ma patronne qui me parle de sa vie d'avant dans l'informatique... Travailler derrière un bureau, assis, toute la journée, tout faire à son rythme, ne pas travailler si on en a pas envie puisque ça ne se voit pas, que personne ne contrôle... Et, forcément, avoir une paye - plus ou moins bonne - qui tombe à la fin du mois.

Je me dis que ma vie serait plus simple, que je serai moins fatiguée, que j'aurais des horaires de bureau - 7h30-16h00 - et des RTT... J'ai déjà travaillé dans ce genre d'endroit, quand j'étais plus jeune, l'été avec ma mère. On passait notre temps à faire les neuneus, à rire, à prendre des photos - je me rappelle, j'avais passé toute une après-midi à lire des critiques pour acheter mon bridge -, j'en changerai presque de métier, quand j'y pense.



C'est vrai. A la librairie/resto, si tu ne fais pas, rien n'avance. Quand tu arrives le matin, il faut écrire les deux ardoises - le menu change tous les jours -, mettre la table, marquer les tables réservées. Les premiers clients arrivent, il faut prendre la commande, les servir. Et ainsi de suite. Prendre sa pause à 15 ou 16h00 et continuer l'après-midi en faisant de la librairie et du salon de thé. Réceptionner les livres, les ranger, envoyer les mails pour prévenir les clients que leur commande est bien arrivée. Conseiller, ranger, faire les commandes pour la nouveauté. Faire éventuellement quelques retours. Servir le thé, apporter des gâteaux.

Si je ne fais pas - ou ma collègue, ou ma patronne - rien n'avance et ça ne marche pas. Et là, je me demande... Si je travaillais dans un bureau, est-ce que ça serait forcément mieux ? J'aurai mal au dos parce que je suis mal assise, je serai fatiguée à ne rien faire de ma journée. Je crois que je ne prendrai aucun plaisir à me lever le matin pour aller travailler.

J'avais déjà parlé du délicat sujet de la lecture, de la manière de faire qui ne correspond pas/plus à ce que je voudrai. A mon envie de voir les choses différemment. Je crois que c'est impossible pour le moment. Je fais ce que je sais faire, et - sans prétention - je pense que je le fais bien et avec le sourire. Je suis heureuse de me lever le matin pour aller "m'amuser", je discute avec des clients très sympa qui m'apprennent des choses. Et le soir, quand je rentre chez moi et que je pense à la journée que je viens de passer, j'ai la sensation du travail accompli.

On verra plus tard, je crois, pour changer de voie/de travail/de vie...
Rendez-vous sur Hellocoton !

16 juillet, 2012

La joie d'avoir des m*rdes qui nous tombent au coin du nez.

Attention, post très glam aujourd'hui qui ne va sans doute pas faire l'unanimité après le dernier débat lancé... 

Mais j'm'en fiche, c'est chez moi. Et j'ai envie de râler ici, pour ne pas trop embêter les gens qui m'entourent du coup -je sais que je vais le faire, mais j'aurais au moins essayé-...

Depuis que nous avons emménagé dans cet appartement : 

- Les toilettes qui fuient
- Le groupe de sécurité du ballon d'eau chaude qui fuit

Appel à l'agence, toujours pas de nouvelles, inutile de préciser que mon amoureux à déjà tout réparé lui-même -pour prélever le loyer tous les mois, ça y'a quelqu'un...- 


Hier -même si ça faisait quand même un petit moment qu'on se disait que c'était étrange-, le frigo qui se met à congeler les aliments. Sympa... Quand on pense qu'en pensant se faire plaisir, on s'est acheté du carpaccio à laisser décongeler dans le frigo -t'es content de le savoir, avoue-... Hier soir, rien à manger. Alors, c'est peut-être pas la bonne solution, mais on arrête pas de mettre le nez dans le frigo pour voir si il ne fait plus froid mais non, il a beau être au plus bas sur le petit bouton qu'il faut tourner pour régler, rien ne décongèle...

Quand je pense que le jour de la visite, la fille de l'agence disait devant nous à l'ancienne locataire : "Le propriétaire nous a fait savoir que vous étiez la locataire idéale"... Ça m'énerve LÉGÈREMENT de voir qu'on se tape tous les trucs pourris depuis notre arrivée... 

Le lundi, l'agence est fermée. Mais je crois que je vais les appeler demain à la première heure. 
Rendez-vous sur Hellocoton !

12 juillet, 2012

Tout n'est-il qu'une question de volonté ?

Je suis là, jeudi matin, à me morfondre dans mon salon, le pc sur les genoux. J'ai mal au dos, je devrai faire un petit coup de ménage mais je n'ai pas envie, je dois aller me faire tatouer à Paris, retrouver une copine et aller voir mon chanteur préféré en concert mais je n'ai aucune motivation...

Le temps est gris, pour changer. 1 jour de beau temps, 3 jours de pluie. C'est comme les poissons ça, 1 pas en avant, 3 pas en arrière...

Je suis en train de me molester en me disant que je suis vraiment une grosse flemmarde, que je vais passer un super moment cet après-midi et ce soir, que je devrai me motiver un peu, que je DOIS me motiver un peu...

Quand la question a traversé mon esprit... Tout n'est-il qu'une question de volonté ? Est-ce que parce que JE VEUX être contente, je dois l'être ? Est-ce que parce que je DOIS avoir l'envie de faire le ménage, elle doit forcément arriver ?

Photo

Je ne sais pas, je pense que le manque de soleil nous ôte toute envie, enfin, pas toute toute mais annihile pas mal de choses. La preuve, ce fameux jeudi matin, en me réveillant à 6h30 il faisait beau, ce qui m'a tout de suite mise en joie pour la journée à venir. Le temps passant, à 11h00, ou un peu avant, il s'est mis à faire moche -ou j'ai pris conscience qu'il faisait moche, mais c'est une autre histoire- je n'avais plus aucune envie de mettre un pied dehors.

Quand, tout à coup, je me suis dis que je ne pouvais pas rester comme ça, avachie sur mon canapé. Volonté alors ? Je me suis mise à ouvrir en grand les fenêtres, un peu d'air, à me faire un petit café, et c'était parti pour le petit coup de frais de l'appartement.

Il m'a fallu un petit sursaut, à peine terminé que déjà recollée devant l'ordi, pour me bouger un peu. Et puis finalement, même sans soleil, la fenêtre ouverte c'est déjà un peu mieux. Je sentais mon esprit fermé, j'ai l'impression qu'il respire un peu, tant mieux hein, on va pas se plaindre.

Et toi, volonté ou non, tu te bouges ?
Rendez-vous sur Hellocoton !

09 juillet, 2012

Mes clients préférés #1.

Il y a cette petite gamine. Je ne sais pas quel age elle a, 12 ou 13 ans peut-être. Elle vient souvent manger avec sa maman, le samedi ou le dimanche, et je lui ai déjà conseillé quelques livres, comme ça, en passant. Elle ne demande pas souvent, mais quand je la vois avec un livre que j'ai bien aimé dans la main, je lui glisse un petit mot en passant : "bon choix", ou, "il est super ce livre"...

Je me suis mise à la tutoyer, je me suis dit que c'était beaucoup plus simple et elle fait pareil avec moi, je trouve ça vraiment bien, sympa. Il y a eu un déclic entre nous quand je lui ai parlé d'un livre qu'elle a acheté et adoré (forcément, ça marche souvent comme ça). 

La dernière fois, elle était là. J'étais pas mal occupée avec le salon de thé, la librairie, la caisse, les paquets cadeaux, et ma patronne était en cuisine. Je lui ai fait un petit signe lui disant que je l'avais vue et que j'arrivais. Elle m'a attendu un bon moment, mais j'ai réussi à me libérer. Elle voulait un cadeau pour une copine à elle, pour un anniversaire.

Photo

J'ai tout de suite trouvé quoi lui montrer, je sais ce qu'elle lit et ce qui lui plait, et elle m'avait bien dit que sa copine aimait les mêmes choses qu'elle. 

Elle est repartie toute contente avec trois livres tous plus différents les uns que les autres, avec un immense sourire aux lèvres et un gros gros merci. Sa visite a été une bouffée d'air frais dans mon après-midi flux tendu, j'ai pu me poser 5 minutes, ne pas courir et simplement lui montrer quelques livres et discuter.

Tout ce que j'aime. Et surtout, surtout, tout ce qui fait que je suis heureuse au travail.
Rendez-vous sur Hellocoton !

06 juillet, 2012

Smash book, ou la vidéo qui donne trop envie.


Voilà, merci Gazelle, merci la blogo qui me donne envie de faire des trucs qui vont encore coûter bonbon... C'est l'amoureux qui va être content (et moi, je vais pouvoir coller tout mon bordel)...

Bon, ça s'achète où à part sur internet ces trucs ?
Rendez-vous sur Hellocoton !

05 juillet, 2012

L'enfer des coffrets, une critique de Doze à l'intérieur.

J'ai toujours trouvé ça sympathique, et je n'ai jamais compris les gens qui râlaient à propos des coffrets. Mais, ça, c'était avant que l'on m'en offre aussi. Enfin, je devrai peut-être dire, que l'on nous en offre. 

Le truc, c'est que le fait d'offrir des coffrets ne part pas d'une mauvaise intention -ça se saurait-, mais que ça pourri bien la vie de la personne à qui on l'offre : je ne m'en rendais pas compte tant que je ne faisais que l'offrir. C'est une bonne solution, qui permet de ne s'occuper de rien en fait.


Petite mise en situation : A noël, mon amoureux et moi avons reçu un coffret "DOZE" d'un certain nombre de points. Sur le papier, tout est tout beau tout rose : un an pour activer la boite sur internet + un an pour utiliser les points, et surtout surtout des tonnes d'offres. 

Dans les faits, ça l'est un peu moins. 
Les tonnes d'offres correspondent au nombre de points et -forcément- on doit rajouter de l'argent pour faire les trucs les plus cool -et on a pas eu une boite de m*rde alors j'imagine pas les personnes qui ont le premier prix-... 

Quand aux deux ans... Nous l'avons activée le 30 janvier, et nous devons utiliser les points avant le 20 décembre. A quelques jours près, certes mais ce n'est pas un an non plus.

Ensuite ? Le site et la boite en elle-même sont super mal faits. 
Je m'explique : sur la boite, il est indiqué 2500 offres, quand on l'active, on se rend compte que l'on a 1500 points. Peut-être qu'on est neuneus mais je trouve difficile de ne pas faire l'amalgame entre nombres d'offres et nombres de points, ce n'est vraiment pas très clair. Et la recherche, venons-en à la recherche d'offres. 

Seconde petite mise en situation : Nous partons en vacances fin juillet en voiture, et le trajet va être looooong, très long. On s'est donc dit qu'on allait trouver un endroit où s'arrêter et dormir grâce au coffret -t'as vu qu'on est pas si neuneus que ça-, mais c'est un peu plus compliqué en fait. 

Dans la recherche, tu sélectionnes une région, Aquitaine, j'ai choisi, puisque c'est par là qu'on va et que l'endroit le plus plausible où l'on puisse s'arrêter. Et -attention !- le budget en nombre de points. Sauf que les catégories ne correspondent pas aux nombres de points des boites. Pour nous, c'est soit de 750 à 1350, soit de 1350 à 1950 alors qu'on a que 1500 points. C'est sans doute un moyen de te montrer ce que tu pourrais avoir si tu payes un peu plus...

Ça pourrait ne pas être grave si seulement il n'y avait pas qu'UNE offre en Aquitaine pour notre tranche de points, offre qui n'a pas l'air particulièrement fameuse. Le reste, c'est surtout de la dégustation de vin -super, j'en bois pas-, de champagne -super, mon amoureux n'en boit pas- ou des jeux d'eau à sensation -super, je refuse d'en faire-...

Peut-être que c'est l'Aquitaine qui a un problème, mais je n'ai pas particulièrement envie de faire un détour à Strasbourg juste pour utiliser mes points. Du coup, je suis un peu -beaucoup- déçue, il y avait l'air d'avoir des trucs sympas mais soit je cherche mal, soit je ne les vois pas...

Pour le moment, c'est tout. Peut-être que lorsque l'on aura trouvé quelque chose, je publierai un autre article pour raconter notre expérience par ici -j'ai hâte, c'est le premier coffret qu'on m'offre!-.

Stay tuned !

EDIT : Après quelques recherches sur internet -juste quelques minutes après avoir publié cet article, la blague-, je viens d'apprendre que la boite est en liquidation judiciaire et que les prestations ne sont plus honorées... Inutile de préciser que les clients n'ont pas été informés : pas de mail alors que nous sommes identifiés sur le site et qu'ils possèdent nos coordonnées, et, pire, aucune information sur le site internet même. Voilà, c'est beau... 

Rendez-vous sur Hellocoton !

04 juillet, 2012

Demain ? Demain ! DEMAIN !

Juste un petit mot rapide par ici...

Demain, le concert de mes rêves. Le chanteur que j'aime le plus au monde, je crois.

Damien Rice. 

Je m'étais interdit de trop y penser pour ne pas enjoliver, ne pas être déçue -on sait jamais-, mais làààà, pfiou... J'ai déjà prévu le paquet de mouchoirs, je pense que je vais pleurer.

Et j'ai déjà du poster cette chanson ici, mais on s'en fout parce que je l'aime.

Je penserai à toi, du haut du premier balcon central...

Voilà !

Rendez-vous sur Hellocoton !

02 juillet, 2012

Projet 52 - #22 à #25

Non je n'ai pas abandonné mon projet 52. Mais par flemme, non envie de poster par ici et par soucis d'économie de temps, j'ai pris la décision de poster tout un mois en même temps à partir de maintenant. Fini les articles Projet 52 à la semaine. Voilà, c'est comme ça, et de toute façon, c'est moi qui décide. Na !

Les jolies couleurs

Une histoire de pourboire

Session coloriage

Un repas de famille

Rendez-vous sur Hellocoton !
Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...