Petite leçon d'optimisme.

Sans vouloir me vanter, je crois que je commence à être une pro de chez pro...

Je rigole hein ! Si tu me suis sur Twitter (encore lui!)(et que tu lis entre les lignes par ici), tu sais que ça ne va pas fort fort chez moi en ce moment.

Le fameux permis.

Que des galères. Des pleurs. De la déprime. 

Ce que je ressens ? La même chose que quand j'allais chez mon père, pré-ado. L'impression d'être dans un tunnel et de ne pas voir la sortie. 

Bref. J'ai fini par me dire qu'il fallait que j'arrête. J'ai raison ?

Que de me bloquer, de me répéter que je n'ai pas envie 1. ne changera rien 2. pire, ne fera jamais avancer les choses dans le BON SENS.

C'est la raison pour laquelle je me suis lancée dans la lecture d'un livre de Frédéric Lenoir, Petit traité de vie intérieure (je vois déjà les copinous libraires qui me lisent se payer ma tête). Je suis désolée de le dire, mais c'est bien trop spirituel. Et puis c'est surtout, un trop long cheminement. Alors que je voudrai quelque chose d'immédiat. 

Un bon coup de pied aux fesses ?

J'ai préféré fouiller dans mes cartons de livres pas encore rangés (depuis plus d'un an? oui mais j'ai pas la place) pour retrouver un gentil compagnon, un autre livre, plus accessible, qui enfonce, certes, pas mal de portes ouvertes mais qu'il est toujours bon de lire pour s'ouvrir les yeux, pour se forcer à voir ce qui est devant notre nez mais qui est caché par nos œillères (c'est beau comme phrase non ?).

Photo

J'ai nommé. Roulement de tambour. 

La positive attitude des paresseuses. OUAIS.

Alors, la positive attitude, c'est quoi ? Attention, je cite : "Une attitude, une manière de voir les choses qui vous aide à dépasser les difficultés du quotidien, à aller vers la réussite".

C'est bien simple, si on pense négatif, on ne dégage que du négatif et on attire que du négatif. Tout le monde le sait, mais c'est bien de se le répéter non ?

Alors, comme dans le petit tableau récapitulatif que l'on peut trouver dans le bouquin, il faut : encourager, féliciter, rire, agir, plutôt que critiquer, dévaloriser, pleurer, s'apitoyer, jalouser...

Facile à dire hein ?
Mais efficace, quand on s'y met ! Parole !

(dans le prochain épisode : comment arriver à ses fins?)

Photo

Des voyages !

Je me suis lancée dans une liste des voyages que je voudrai faire avant d'avoir des enfants / d'être vieille / de mourir / etc...

Rien de spécial, sinon que j'avais envie de la partager. Ça se passe de commentaires non ? (enfin des miens, toi, tu peux en laisser si tu veux, ça me fait toujours plaisir)

- Istanbul
- Lausanne, Suisse en général mais surtout lac Léman (c'est à cause de tous ces articles qui pullulent en ce moment)
- New-York
- Un road trip en Californie + parcs nationaux (quand même quoi)
- Tokyo Disney Sea
- Rome
- Bruxelles
- Amsterdam (bon, ok, je suis hyper influencée par ce que je lis sur mes blogs favoris aussi)
- Londres au moins trois semaines
- Saint-Petersbourg
- Churchill au Canada pour voir la migration des ours blancs
- Québec
- Islande (forcément)
- L'île du Prince Edouard
- Nouvelle-Zélande et Australie

...

Et, ça sera déjà bien, non ?

Je tiens à préciser que ce n'est pas classé par ordre de préférence... Je crois que je n'en ai pas :D

Il faut juste rêver, un peu.

Source

Chagall au musée du Luxembourg.

Je ne connais pas Chagall. Je ne l'ai pas beaucoup fréquenté. 

A part les tableaux les plus connus que j'ai sans doute déjà croisé dans des bouquins et en histoire de l'art, je ne m'étais jamais intéressée à ce qu'il avait fait, à son histoire, son passé, ses messages. 

MAIS. J'ai toujours aimé les couleurs et le peu que je pensais savoir à suffit à me donner envie de visiter l'expo en cours au musée du Luxembourg. 

Je ne vais pas passer par quatre chemins : j'ai eu un vrai coup de cœur. Je savais que ça allait me plaire, j'adore me balader dans les musées, petit 1, et ses dessin enfantins sont quand même très jolis, petit 2, et puis j'étais quand même avec ma collègue préférée, petit 3. Mais je dois avouer que je ne pensais pas aimer à ce point.

Je n'ai plus les mots pour expliquer ce que je ressens, les termes techniques de mes cours sont maintenant bien loin. 

Chagall, c'est : les couleurs, la religion, le deuil mais aussi de l'amour et beaucoup d'espoir. Il m'a d'ailleurs fait penser à Van Gogh (mon peintre préféré, suis un peu !), je ne sais pas pourquoi. Peut-être dans la superposition des couches, ou dans les couleurs.

Comme d'habitude (je crois que ça va devenir une formule récurrente ici), je ne sais pas quoi te dire de plus. Sinon que si tu aimes les couleurs et la peinture, disons, onirique et pleine de symboles, tu peux y aller les yeux fermés.

C'est sublime, superbe et très bien mis en scène (par ordre chronologique, si tu veux tout savoir). 

C'est tout pour aujourd'hui.

J'ai testé pour toi... Les fleurs de Bach !

Comme j'en parlais dans un précédent article, le permis me mine un peu le moral. C'est l'ascenseur émotionnel, ce truc. C'est clair qu'à la base, je n'ai pas envie de le passer. Soit. Mais je me suis inscrite, j'ai payé, je dois le faire (entre les deux codes passés et la conduite d'aujourd'hui, je crois que je suis à + de 2000€). 

Je ne te raconte pas les crises de panique que je fais quand je pense que je dois conduire, la non-envie d'y aller le matin, cette envie de vomir en permanence quand je suis derrière le volant mais, surtout, surtout, cette pensée qui surgit à chaque instant : "je ne suis pas à ma place". (sauf si tu me suis sur Twitter, tu sais déjà tout ça)

Force est de constater que je n'ai pas le déclic. Et que même un road trip aux USA ne suffit pas à me laisser entrevoir le bout du tunnel.

Bref, je m'égare. Je crois que je pourrai parler de mon rejet du permis pendant des heures (sérieux, je pense que j'ai un vrai problème).

Tout ça pour te dire que j'ai acheté des fleurs de Bach.

C'est ainsi que lundi matin, le chéri et moi, sommes partis en goguette au magasin bio (encore tout une histoire, avec ce mal de ventre qui me ronge!)(je crois vraiment que je devrai voir un psy)(le médecin généraliste m'a dit : "arrêtez avec vos phobies"). 

Mais les fleurs de Bach, c'est quoi ?

Alors, je ne suis pas une pro c'est clair, il existe plein de livres pour en savoir plus si jamais ça t'intéresse. Mais le mec a créé des "profils" de défauts (bien accentués pour qu'on puisse se reconnaître dedans) qui nous pourrissent la vie et propose des eaux de fleurs pour réussir à dépasser tout ça. 

Il en existe une certain nombre, pas mal, genre 38. On peut faire des mélanges pour que ce soit plus efficace et plus personnalisé, aussi.

De toute façon, ce n'est pas de ça que je vais te parler (même si je pense sérieusement à soigner mon hypocondrie avec ça). Mais du "Rescue", élixir pour les urgences. Et, donc, ce que j'ai acheté pour conduire. 

Ma mère m'en avait déjà donné pour passer mon bac, et j'ai la vague impression que, sans ça, je ne l'aurai jamais eu. Je ne dis pas que je lui dois mon salut, mais quand même, ça m'a bien aidée. Et puis j'ai plein de clients new wave du resto qui m'ont conseillé d'en prendre, alors je me suis lancée. 

Verdict ?

Jeudi matin, grosse angoisse (surtout vu les deux heures du jeudi d'avant et les pleurs et la migraine qui en a résulté). Je monte dans la voiture, me vaporise deux coups de spray bouche et c'était parti. Franchement, je ne sais pas si je me suis persuadée que tout allait bien parce que j'en avais pris (on sait jamais avec ce genre de truc!) mais tout est allé comme sur des roulettes !

Ce qui m'étonne le plus, c'est que je me suis sentie calme et maître de moi-même, ce qui ne m'arrive jamais. Enfin, être maître de moi-même est une qualité que je n'ai jamais, en aucune circonstance. J'ai eu la sensation d'être rationnelle, réfléchie, posée. Même le moniteur m'a dit que j'étais beaucoup mieux.

J'ai fini par lui avouer que j'avais pris des gouttes. 

Alors, on l'adopte ?

Une dernière chose avant de partir.

Attention, fait assez rare pour être signalé : j'ai commencé un livre qui me plait plus que la moyenne. Et qui n'est pas du roman ado (grosse nouvelle quoi).

Pour une fois, c'est un livre que j'ai envie de reprendre à peine posé. Un livre qui me fait cogiter. Un livre qui me donne envie de le lire jusqu'au bout... Et c'est pas peu dire !

L'auteur, c'est Jonathan Tropper.

J'en ai BEAUCOUP entendu parler mais, comme d'habitude, je ne me suis jamais penchée sur ses romans. D'ailleurs, en parlant de ça, je crois que j'ai un (petit) problème : je déteste qu'on me donne des conseils de livre. 

Enfin, ça dépend des personnes, mes copinous chéris, libraires comme moi, ça va. Mais d'autres personnes, genre la bibliothécaire en face du travail, j'ai vraiment du mal. Je ne sais pas pourquoi mais je fais un blocage. 

Tout ça pour dire que je n'ai jamais lu Jonathan Tropper. 

Et que j'ai envie de te dire : mieux vaut tard que jamais.

Parce que ce que j'ai lu était vraiment génial !

Je trouve que, souvent, les quatrièmes de couvertures sont nulles. Elles en disent trop. C'est la raison pour laquelle je n'ai pas envie de copier/coller celle de ce livre ici. 

Ce qu'il y a à savoir (j'essaye de ne pas trop développer, mais ce n'est pas facile) : Silver, à 44 ans, est un loser fini : divorcé, père pas présent pour sa fille, il vit au Versailles une résidence pour hommes seuls. Suite à une attaque, il doit se faire opérer pour survivre. Mais refuse et préfère faire en sorte de devenir un homme meilleur.

Comme d'habitude, je ne sais que dire sinon qu'il faut se jeter dessus et le dévorer parce que c'est vraiment un très très bon bouquin. J'ai ri dès le premier chapitre mais, même si c'est drôle, c'est aussi cynique, sombre, triste... On réfléchit quand même un peu en le lisant !

Alors, va, cours, vole chez ton libraire (bah oui! faut bien les sauver!) le plus proche et revient me dire ce que tu en a pensé.

Belle lecture !

Jeudi férié, brunch et musée du Louvre.

Jeudi matin (dernier)(ça commence à dater !), on a pris la décision d'aller à Paris. La capitale. Celle qui est au bout de la rue mais où on ne va jamais. 

A la base, on devait aller à la mer. Et puis finalement, nos compagnons de route n'étant pas motivés par le temps, on a changé nos plans et sommes partis en goguette en amoureux. (Moi j'aime la mer quelque soit le temps, mais bon, c'est comme ça, ce n'est que partie remise).

Paris, c'est un peu le bazar avec la voiture. Je me suis déjà juré maintes et maintes fois que je n'irai jamais là-bas quand j'aurais mon permis. On a mis pas mal de temps à se garer, et, moi, en plus je ne connais que le métro.

On est allés bruncher chez Oh mon cake!, le petit resto que je rêve de tester depuis une décennie mais qui est fermé le lundi = mon jour de repos, si tu suis bien.

Au menu : café à volonté, jus de fruits pressés -pas à volonté par contre, dommage ^^- orange pour monsieur et orange-carotte pour moi (trop bon!), fromage blanc aux fruits (le kiwi était délicieux et m'a rappelé à quel point j'aime ça et à quel point je n'en mange jamais)(pas hyper fan du chocolat par dessus mais je suis une grosse relou dès lors qu'il ne s'agit pas de milka ou de kinder), bagel classique au saumon pour monsieur et tarte chèvre-courgette pour moi (pas goûté le bagel, et la tarte était très bonne et, du coup, un peu petite à mon goût), cheesecake en dessert pour monsieur toujours (poire-chocolat sur noix de pécan caramélisées il me semble, je n'ai pas goûté mais ça avait l'air bon !) et pancakes au sirop d'érable pour ma part, très bons.

Je trouve le prix honnête pour un brunch parisien en terrasse... Bon, pas dans une rue complètement folle non plus mais c'était quand même sympa.

On a fini par aller se perdre pour le reste de l'après-midi dans les couloirs du musée du Louvre. Musée que tu peux visiter 100 fois et dans lequel tu peux encore te perdre et découvrir des choses... Oui oui ! J'y suis allée des dizaines et des dizaines de fois avec mes compagnons de l'histoire de l'art quand j'étais au lycée mais je n'y ai toujours pas pris mes marques.

Après un petit tour dans la nouvelle aile consacrée aux arts islamiques et devant ses magnifiques mosaïques (je suis fan !),  nous nous sommes retrouvés devant la peinture mexicaine. Après, quelques déambulations, nous avons fini par retrouver notre petit appartement bien tranquille.

Au passage, un gros coup de coeur pour ce superbe tableau, inspiration pour un futur tatouage, qui sait : 

C'est sur ces belles couleurs que je te quitte, lecteur, et te souhaite une belle nuit (à cette heure-ci, je me permet!)

J'ai testé pour toi... Printic !

Hé oui, mon petit.

Printic, c'est quoi ?

C'est une application qui te permet d'uploader des photos de ton téléphone -instagram, bien-sûr ou alors tes photos classiques- et de les faire parvenir en format polaroid, imprimé sur papier dans ta boîte aux lettres. C'est sympa hein ? Quand j'ai vu le prix de la photo -0.79cts- je me suis dit que ça valait le coup de se lancer.

Ce que j'ai fait. C'était quand j'étais toute seule dans la grande maison que je gardais et que je rentrais d'un week-end avec mes cousins et ma soeur chez ma maman, qu'on avait un peu pleuré en se disant qu'on se manquait, et qu'il faudrait qu'on se voit plus souvent.

Alors, j'ai pris deux photos de nous quatre. Une que j'ai fait en deux exemplaires et une en un seul exemplaire et puis je leur ai fait envoyer. Plus une enveloppe pour moi aussi. Quelques jours après, je suis rentrée chez moi et j'ai trouvé un truc à mon nom dans la boîte aux lettres (ouais, ça m'arrive parfois).

J'ai quand même attendu d'être bien posée chez moi pour ouvrir mon petit paquet mignon, pour une fois que c'était pas une facture.

Alors, ça donne quoi ? Le packaging -ça se dit?- est super mignon, je suis fan. Le format des photos est vraiment trop. Après, je ne trouve pas la qualité exceptionnelle. Alors, forcément, j'ai choisi une photo retouchée avec PicFrame et une autre prise dans de mauvaises conditions, toute tremblée et presque dans le noir, en contre jour, tout ça tout ça.

Là, c'était surtout l'occasion de faire un petit cadeau à notre bande après nos retrouvailles un peu, disons, compliquées. J'essaierai sans doute après des photos plus "artistiques".

Inutile de préciser que cet article n'est pas sponsorisé, j'ai tout payé de ma poche, après avoir vu de bonnes critiques chez Carnet Prune. 

Belle journée !

Je suis là !

Je suis de retour. Hin hin ! 

Si tu me suis sur Twitter, tu sais pourquoi je n'étais pas là. Si non, je vais te raconter une histoire.

Mardi dernier, jour de repos donc. Je bois mon café tranquillement, avant de me préparer pour aller au musée d'art moderne voir l'exposition Keith Haring. Quand soudain, silence dans la maison. Et BAM! Après un tout petit bruit -criiiiic-, ma tasse a volé en éclat. Du café, partout. Sur moi, sur la table, par terre et... Je te le donne en mille : dans l'ordinateur. Ce n'est clairement pas la première fois qu'il se prend un mug de quelque chose dans la tronche... Mais bon, après 4/5 ans de bon et loyaux services, il faut avouer que le petit n'était plus vraiment résistant.

Je l'ai laissé sécher quelques jours, par terre près de la fenêtre ouverte, il a fini par se rallumer mais je n'avais plus le wifi. Nous nous sommes levés aux aurores dimanche matin pour aller acheter une petite clé usb pour capter le wifi, mais là, on s'est rendu compte que tout le bas du clavier ne fonctionnait pas, genre X = C quoi...
Voilà, le pourquoi du comment j'ai disparu de la circulation (t'étais triste avoue)(mais t'as qu'à me suivre sur Twitter aussi)... Et puis, pas facile de taper un joli petit article du téléphone (ce que j'ai déjà fait mais bon, faut pas pousser mémé dans les orties). 

Du coup ! Hier, un nouveau petit compagnon est arrivé à la maison. Il faut que je l'apprivoise, il est plus grand, le clavier n'est pas pareil, un peu dur, ma musique et mes photos de ne sont pas encore dedans, je ne comprends pas où sont passées mes photos iphone, bref, il faut que je m'habitue.

Mais je l'aime déjà ce petit.

L'amour.

Le coup de foudre, tu connais ?

L'hésitation, juste avant. 

Et puis. L'éblouissement.

C'est ça.

La vie. La vérité. L'amour.

Les papillons dans le ventre. 

Et rien d'autre qui ne compte.

Il y a eu Damien Saez, Damien Rice, Mumford and sons, quelques autres.

Et puis...

Fauve.

"Tu l'entends ? Bien sur que tu l'entends, le murmure. Le murmure assourdissant et permanent. Il a envahi la ville et les esprits, il arpente les rues en hurlant. Le murmure assourdissant et permanent comme un bruit parasite à l'intérieur, qui t'épuise, qui souffle à l'oreille de chacun "t'es mauvais, bon à rien, tu sera jamais assez bien" [...] Et tu l'acceptes, tu le laisses rentrer."

Fauve, moi. L'amour. Et puis c'est tout.

Seven Positive Things #5.

• Je reviens d'une semaine ailleurs, près du travail, où j'ai gardé un chien et une maison... Ca m'a fait un bien fou, de changer de décor, de ne pas conduire, d'habiter à une minute à pieds du travail, de sortir juste avec son portable et ses clés, de ne pas trop être sur mon ordi..

• Je devais travailler dimanche pour remplacer ma collègue et quand je suis arrivée samedi matin, j'apprends que je ne travaille pas mais aussi que je reprends le travail le vendredi suivant. Quelques jours de vacances, le bonheur, Paris, la mer ? On va voir.

• Ça date un peu, mais en cherchant une pochette de piercings de nez (oui, j'ai envie de changer un peu, ça m'arrive parfois), je suis tombée sur... des livres ! (£) T'es d'accord que c'est un signe qui me dit qu'il faut y retourner hein ? 

• La Floride était un peu passée à la trappe ces derniers temps... Tout est payé, ne reste que les questions pratiques, passeport, ETSA, et billets de parcs... Alors quand j'ai reçu un mail qui nous indiquait que les horaires d'avion avaient changés, on s'est remis à en parler. Déjà, ça fait un bien fou de se dire qu'on part 10 jours aux USA (franchement quoi, WDW, mon rêve de gamine!) mais en plus on a (presque) pris la décision de partir... sans valise ! Voilà !

• Vendredi dernier (ou il y a deux ou trois semaines je sais plus et franchement, on s'en fout), je suis allée voir les Concrete Knives en concert au Trianon. Outre que j'ai passé une bonne soirée avec mon pote, la première partie -Caandides- était top. En cherchant des trucs sur eux, je suis tombée sur Fauve (et là, je bénis internet qui me fait ouvrir 15 liens et tomber sur des trucs qui me retournent). Je suis littéralement ACCRO. C'est dit ! Je n'ai qu'une envie : les voir en concert.

• Le week-end dernier, repas de famille chez ma mère pour fêter les 20 ans de ma petite soeur, toujours petite à mes yeux (bon, elle a déjà son permis et c'est elle qui me roule...). On s'est retrouvés entre cousins, entre larmes, rires, câlins... L'age, les études, le temps font qu'on s'éloigne... On s'est juré de passer du temps régulièrement tous ensemble, de se faire des voyages, des vacances, c'est pas facile mais j'espère qu'on va s'y tenir.

• Lundi, je suis allée à Paris voir une copinette pas vue depuis longtemps. Notre petit plaisir : aller au bon marché. On a même pas eu besoin de se concerter en fait. Bon, on se fait du mal parce qu'on voudrait tout acheter et qu'on fait pas le bon métier mais on a quand même passé un super moment. Et on a mangé un super goûter. Et je suis repartie en me disant que je devrai faire ça plus souvent !